Juillet… l’été… et nous entrons dans le temps des vacances. Et comment vivre ce temps ? Peut-on espérer qu’après le temps du confinement lié au Covid-19, nous ayons appris à vivre autrement ? Quelles leçons pouvons-nous tirer de ce moment éprouvant qui est venu bouleverser notre manière de vivre ? Cette expérience nous permet-elle de remettre en première place les vraies valeurs ? Partir ailleurs, c’est bien ; mais pourquoi ? Pour quoi faire ? Qu’allons-nous chercher lorsque nous avalons des kilomètres, lorsque nous engloutissons des sommes importantes pour des divertissements si éphémères ?
L’homme mérite de se questionner car cet invisible virus est venu lui montrer qu’il n’est pas tout puissant, qu’il ne peut maîtriser les choses, le monde, les hommes comme il le veut. Oui, l’homme s’est battu pour sortir de cette invasion virale, et c’est tout à son honneur. Mais, il n’est pas le maître du monde et c’est illusoire et vain de rêver de le devenir. Il est quelqu’un de bien plus grand que lui qui donne sens à ce qu’il vit. Et si c’est cela qui devenait important : donner sens à sa vie avec Celui qui crée toutes choses et qui nous donne la vie, la vraie vie ; qui nous donne la joie, la vraie joie.
Le temps des vacances peut être ce temps où l’on s’arrête pour admirer, pour découvrir, pour tisser des liens, pour aller au plus profond de soi, pour vivre une vraie relation avec le Seigneur et ce, dans la durée, pour creuser son sillon dans la droiture, la justice et la vérité, pour devenir enfin un homme libre au vrai sens du terme, c’est-à-dire qui ne fait pas que ce qui lui plaît au mépris des autres sinon il est esclave de lui-même. Pouvoir remettre l’autre et l’Autre au centre de notre vie, c’est un défi à relever. Ne le fuyons pas. Relevons-le.
L’homme mérite de se questionner car cet invisible virus est venu lui montrer qu’il n’est pas tout puissant, qu’il ne peut maîtriser les choses, le monde, les hommes comme il le veut. Oui, l’homme s’est battu pour sortir de cette invasion virale, et c’est tout à son honneur. Mais, il n’est pas le maître du monde et c’est illusoire et vain de rêver de le devenir. Il est quelqu’un de bien plus grand que lui qui donne sens à ce qu’il vit. Et si c’est cela qui devenait important : donner sens à sa vie avec Celui qui crée toutes choses et qui nous donne la vie, la vraie vie ; qui nous donne la joie, la vraie joie.
Le temps des vacances peut être ce temps où l’on s’arrête pour admirer, pour découvrir, pour tisser des liens, pour aller au plus profond de soi, pour vivre une vraie relation avec le Seigneur et ce, dans la durée, pour creuser son sillon dans la droiture, la justice et la vérité, pour devenir enfin un homme libre au vrai sens du terme, c’est-à-dire qui ne fait pas que ce qui lui plaît au mépris des autres sinon il est esclave de lui-même. Pouvoir remettre l’autre et l’Autre au centre de notre vie, c’est un défi à relever. Ne le fuyons pas. Relevons-le.
Mère Marie Christine